Austraal, est un groupe à la croisée des musiques tribales, orientales et actuelles. Sa formation atypique nous permet d’emmener le public à la découverte d’un continent musical inexploré, celui de l’Austraal. Cette Atlantide musicale est suspendue dans le temps entre les sonorités millénaires du didgeridoo, le charme envoûtant du Saz, la chaleur de la trompette et la puissance d’une batterie électro-acoustique.
uRYa est un passeur d’émotions. Sa musique, venue des hauts plateaux de Mongolie, nous transporte comme un vol magique au cœur des steppes, auprès des peuples nomades.
Voix de gorge et violon cheval, tambour chamanique et guimbarde se confondent pour nous faire entendre le chant de la rivière, le galop de chevaux et le pépiement des oiseaux. Ces paysages sonores nous racontent les grands espaces, le feu, le froid, les hommes, les âmes et les chamanes. Puissante et émouvante, intemporelle et universelle, la musique d’uRYa nous replace au cœur d’une nature rude, sauvage et belle.
Ambassadeur de la culture mongole en France, Michel Abraham, le « français mongol » comme il est appelé par ses pairs dans le pays des steppes, a créé le projet uRYa en 2011 pour partager sa passion.
uRYa signifie « l’appel de la nature » en vieux mongol, cette nature qui a justement inspiré la création du violon cheval et des chants de gorge.
“Raïdho” est une association d’êtres qui tire son essence du métissage entre des inspirations musicales ancestrales et modernes.
A travers l’utilisation d’instruments ethniques, ils proposent des sonorités dansantes et organiques comme une invitation au voyage, de la Mongolie à l’Afrique, en passant par l’Australie et l’Amérique du Sud.
Chacun de ses membres amène des sonorités issues de ses expériences de voyage. L’axe vibratoire principal est le didgeridoo, accompagné de flûtes et percussions du monde, voix (chants diphoniques et gutturaux), guimbarde, handpan, mandoline…
Chus, Tomás et Brais se connaissent depuis plusieurs années. Arpentant les rues de Saint Jacques de Compostelle, c’est tout naturellement qu’ils se sont unis, portés par leur amour de la musique.
Avec le temps et après de nombreuses rencontres et d’improvisations musicales, ils décidèrent de fonder Djang Dharma.
Ce groupe est la fusion de trois instruments élémentaires : le sitar d’Inde, le didgeridoo des Aborigènes d’Australie et le très contemporain hang de Suisse. Mais les percussions et le chant harmonique ont également leur place dans les compositions de Djang Dharma. De cette alchimie musicale, naissent rencontres et concerts, avec une volonté de provoquer des émotions et de faire vibrer l’auditoire au son de la musique.
“Depuis un bon moment, j’offrais des fraises lors de raves ou de festival « nature ». Sur ma tête un chapeau de fraise, sur mon dos une cape fraise, dans une main un didgeridoo, dans l’autre ma barquette de fraises.
Tout le monde disait que j’étais fou mais cela m’a rendu encore plus passionné. Dès lors, je pris la décision de devenir cet exemple de personne qui a suivi sa passion jusqu’au bout.
A 20 ans, je me suis dit « pourquoi s’arrêter là ? » Alors j’ai continué à distribuer des fraises dans la rue tout en jouant du didgeridoo. Je me suis tellement amusé et j’ai gagné tellement d’argent que j’ai quitté mon emploi de serveur et je suis devenu le « strawberry man ».
Depuis, j’ai joué partout dans le monde, accumulant plus de 3000 heures de scène, mais aussi en jouant dans les rues, dans des salons, des fêtes ou de grands festivals.
En Australie, j’eus l’honneur de séjourner chez les Aborigènes. Ils m’ont parlé des origines du didgeridoo. A cette époque, je vivais avec le patriarche de la tribu Yolngu : Djalu Guruwiwi. Il m’a adopté comme un frère et c’est avec sa bénédiction que je suis reparti parcourir le monde pour répandre mon message.”
Composé de Aron Szilàgyi, joueur de guimbarde renommé, et de Béla Drabant, chanteur et violonneux, le Duo Zoord propose une musique puissante et festive, originaire du folklore transylvanien.
Entraînée par le virtuose de la guimbarde, le duo mélange instruments traditionnels et loop stations pour construire des morceaux incomparables qui rappellent l’ambiance des vastes plaines sibériennes et l’esprit indomptable de la Transylvanie.
Le duo prépare un tout nouveau set pour le festival. Fidèle à leur réputation, ils présenteront une musique pour faire battre le cœur, danser les pieds et nourrir les âmes passionnées.
Les chants diphoniques revêtent un caractère mystérieux. Ils sont traditionnels d’Asie centrale et plus particulièrement de la région de Touva. Forts de leur technique unique et ancestrale, ces chanteurs des steppes délivrent une multitude de sons cosmiques, riches de nuances, entre bourdon grave et harmoniques aiguës.
Quelque chose qui n’est plus mystérieux en revanche, c’est le succès mondial de ce quartet originaire de la Touva, au sud-est de la Sibérie. Grâce à leur présentation moderne du chant diphonique, Huun-Huur-Tu est désormais un nom reconnu internationalement dans l’univers de la World Music.
Toujours en quête de nouveauté et d’originalité, Adèle Blanchin sait vous faire voyager sur tous les continents au son du didgeridoo, de la guimbarde, de la flûte et une multitude d’instruments.
Cette année elle viendra nous faire découvrir son nouvel album « Amyia » en live et pour l’occasion, elle sera accompagnée de deux musiciens aussi envoûtants que percutants : Jeremy Nattagh (multi instrumentiste renommé) et Cyrille Lecoq (ancien membre de YAK’CHE). Un spectacle aux sons vibrants, hypnotiques et dansants dans un voyage au-delà des frontières de l’imaginaire.
Spectacle de Clown préhistorique tout public de 45 min (clown, musique, jonglerie…)
par la Cie du Faubourg (dept 04).
« Phahahaaaa » est un homme préhistorique projeté dans notre monde contemporain. Il est seul perdu. Il découvre ce monde nouveau qui s’ouvre à lui, et rencontre une tribu. Ils sont si différents et si ressemblants à la fois. Peur et curiosité se côtoient.
Là commence un jeu de surenchères absurdes pour se faire valoir à cette potentielle famille. Va-t-il réussir ? Cette tribu va-t-elle faire le pas d’aller vers l’inconnu, la différence, l’autre ? Vivront-ils une transe préhisto-contemporaine effrénée, l’adoption d’un cousin très éloigné… ?
Adag’nan c’est le duo formé par Roxane et Maël. Tous les deux proposent une fusion d’univers parfois similaires, parfois complémentaires qui sont autant d’invitations au voyage musical.
Inspiré par l’Instant, par l’énergie du moment et du lieu, leur voyage est parfois illustré de légendes locales.
Adag’nan c’est de bonnes ondes diffusées avec le cœur, avec l’envie d’apporter de la douceur, de la paix.
Adag’nan c’est de la musique puisant son inspiration dans les musiques du monde, dans le jazz, le trip hop.
Adag’nan c’est aussi la musique de l’instant présent et qui invite à chanter et à danser.